Ingrid Harrison
BIOGRAPHY
As a child, Ingrid Harrison fled to Stockholm with her parents to escape the Nazi occupation of her homeland, Estonia. For five years she studied art at the Gothenbourg Institute where she was considered something of an infant prodigy. In 1951, she immigrated to Montreal, married and produced two children. For some years, her painting took second place to domestic concerns, but she continued her studies at the Art School of the Museum of Fine Arts.
In 1974, she decided to devote herself entirely to painting, so she registered at Concordia studying with Patrick Landsley, John Fox, Guido Molinari and Marian Wagshal. Ingrid paints the world around her and her love for her adopted home is evident in her works. She shows the vitality and charm of Montreal in all of her city scenes. One of her favorite subjects is Sherbrooke Street and she succeeds in capturing both the human and cultural aspects of this famous street as well as its chic ambience. There are always pedestrians and vehicles in the paintings because she considers an urban scene to be inconceivable without them.
Ingrid has shown in Montreal, Australia, Greece and the United States and her works have been purchased by private collectors both here and abroad.
BIOGRAPHIE
Enfant, Ingrid Harrison a fui à Stockholm avec ses parents pour échapper à l’occupation nazie de son pays natal, l’Estonie. Pendant cinq ans, elle a étudié l’art, à l’Institut de Göteborg, où elle était considérée comme une sorte d’enfant prodige. En 1951, elle a immigré à Montréal, s’est mariée et a eu deux enfants. Pendant quelques années, sa peinture passe au second plan devant les préoccupations domestiques, mais elle poursuit ses études à l’école des beaux-arts du musée des beaux-arts.
En 1974, elle décide de se consacrer entièrement à la peinture et s’inscrit à Concordia pour étudier avec Patrick Landsley, John Fox, Guido Molinari et Marian Wagshal. Ingrid peint le monde qui l’entoure et son amour pour son pays d’adoption est évident dans ses œuvres. Elle montre la vitalité et le charme de Montréal dans toutes ses scènes urbaines. L’un de ses sujets de prédilection est la rue Sherbrooke et elle réussit à saisir à la fois les aspects humains et culturels de cette célèbre rue ainsi que son ambiance chic. Il y a toujours des piétons et des véhicules dans les peintures car elle considère qu’une scène urbaine est inconcevable sans eux.
Ingrid a exposé à Montréal, en Australie, en Grèce et aux États-Unis et ses œuvres ont été achetées par des collectionneurs privés d’ici et d’ailleurs.